Entre l’or et le vermeil
Entre l’or et le vermeil
D’un matin encore dans l’inconnu
D’un aperçu mis à nu.
Par les rayons, la mer dorée
S’éveille après une nuit ignorée
D’un matinal passant, sensible,
Face à la beauté d’un lever imprévisible.
Jeu de lumière d’un instant
D’un éphémère rayonnement
Du réveil du firmament
Suspendu à un féerique enchantement.
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