Chimères
Entouré de bergères,
Est à des lunes de mon crayon
Ébloui, chauffé par les rayons
De son mélodieux astre solaire
Aux quatre coins de la Terre.
Encore et encore il réitère
Son amour des commentaires.
Tantôt berger, tantôt corsaire,
La forêt régénère son imaginaire.
Si loin de mon vieux cœur,
Ce célèbre violoncelliste charmeur,
De concert en concert,
Au fil de mes vers,
Comble mon vide sur Terre.
Ce lonely berger solitaire,
Au jeu du chat et de la souris,
Recharge nos similaires batteries.
Chimères d’un burn out existentiel
D’âmes investies d’arcs-en-ciel.
10 Juillet 2024 Jeannine Castel
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