Randy, Rando et Olaf en Espagne

Incroyablement votre

« Encore une lucarne et son raide fil à la patte !

J’ai pas envie de finir en purée de patates !

Pourquoi ce rappel que nous sommes poussière !

Pourquoi troubler cet instant ? Vilaines sorcières ! »

« L’homme ! Ses jours sont comme l’herbe … »

« ok, mais nous devons conjuguer quel verbe ? »

« Comme la fleur des champs, il fleurit … »

« C’est quoi cette énigme qui sent les pissenlits ?… »

« Dès que souffle le vent, il n’est plus … »

« Ohlala… Grave…ça pue la fin du vécu … »

« Même la place où il était l’ignore … »

« Ah non ! Nous n’allons pas retourner encore !

Et vlan ! C’est le passage des ténèbres à la lumière

Sous la forme d’une inconnue à l’âme hospitalière

Où un souffle bleuté qui me rappelle le ciel

Murmure dans un céleste chant providentiel :

« Croyez en la lumière et vous serez des fils de lumière ! »

« Ben croyez-moi où pas c’est à rester le popotin par terre !

Et paf ! Nous voici abreuvés au torrent du Paradis,

Côtés pile et face ! C’est comme je vous le dis … Garanti !

Dans un grondement étourdissant, fracassant, au fond du trou,

Nous vivons cette magique, irréelle levée des écrous.

Un lac sagement endormi depuis la nuit des temps

S’émerveille de nous voir, après ces obstacles, encore survivants… »

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Chatnine