Randy, Rando et Olaf en Espagne
« Ouais, ben les amis, la montée c’est pas de la tarte !
Ce chapeau … Un peu lourd pour la tête de Bonaparte !
Nous approchons des mille mètres au-dessus de la mer.
Quelques couloirs frileux laissent passer un peu d’air.
Ce n’est pas de refus, bien que dans le sac à dos
J’ai encore plus chaud et ici y a pas de ruisseau.
Tout en haut du sommet une bergerie déserte s’ennuie,
Surplombe cette prairie fleurie, encore verte aux ennuis.
Clou de la virée, le pied géant de la sorcière gigantesque,
Si effrayante par son aspect, sa taille d’allure grotesque,
Qu’une peur bleue communicative, autrefois dans la bourgade,
Se lisait sur tous les voisins planqués derrière des barricades.
La sorcière lassée de leurs frayeurs, éleva des rochers,
Et de cacha de tous ces gens par la superstition entichés.
« À vaincre sans péril, on triomphe sans gloire »
Ma maîtresse semble approuver ce Corneille notoire.
Aucune corneille par ici à bader ne vole
À part ce vertigineux panorama et les discrètes caresses d’Eole.
J’espère que vous avez aimé cette légende par ici circulant.
Permettez-moi de flâner et fureter un instant … »
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